Ici, votre AUTONOMIE ALIMENTAIRE des 12 prochains mois
= vos SEMENCES & SEMIS maîtrisés
Découvrez ici ce que personne ne vous dit
Et ma méthode personnelle pour devenir un pro
Horloge biologique méconnue, scandales et secrets révélés.
Découvrez LA différence d’un jardin d’abondance qui se bonifie avec le temps
Vous êtes au bon endroit :
Si vous ne savez pas où acheter de bonnes semences, ni ce que ça veut vraiment dire.
Si vous n’avez jamais fait de semis de votre vie, ou que leur succès dépend de miracles.
Si vous n’avez jamais récolté les graines de votre jardin (potagères ou de vos fleurs)
Si vous souhaitez cheminer sur la voie de l’autonomie alimentaire, mais que vous ne savez pas par où commencer.
Vous êtes fan de tomate (nostalgique des vraies tomates d’antan de vos grands-parents, ou énervé de celles insipides des supermarchés, ou soucieux de faire des économies vu leur prix au marché bio).
Si vous cherchez à mieux planifier vos récoltes, mieux manger, et mieux prendre soin de la santé de votre sol et de la vôtre, en acquérant des semences de vie plutôt que de semences kleenex, alors vous êtes au bon endroit au bon moment, oui.
Si vous voulez un jardin naturellement abondant dès la première saison, et qui se bonifie avec le temps, sans avoir à racheter chaque année des graines ni engrais.
C’est possible, car c’est la base même de la nature, et tout part de la semence !!
Mais pour savoir, il n’est jamais trop tard, et il y a urgence !
Qu’on ait un jardin ou pas, tout le monde mange :
il vous faut savoir, vous pouvez transmettre, et pour agir, c’est LE meilleur moment.
Découvrez ici ce que personne ne vous dit :
- « La main verte » n’existe pas: tout dépend de la semence, pas du jardinier.
La semence naturelle créé un cercle vertueux, les 90% autres qu’on nous vend, un cercle vicieux. - La santé de toute la société vient des semences : les bonnes semences anciennes ont un microbiote qui nourrit le sol, les herbivores, et donc les carnivores et les Humains. La santé, et la qualité nutritionnelle !
- Même les mafias (sans parler du lobby du « tout chimique ») se mêlent de l’empire du monopole des semences industrielles, brevetées, surtout de la tomate…
- Plus de 80% des semences « bio » sont en réalité des semences F1 (Alerte ! si vous ne savez pas pourquoi, je vous en parle plus bas). [1]
- Les semis sont un jeu d’enfant en réalité. Le savoir et savoir-faire n’est perdu que depuis 1 ou 2 générations. Il est temps de se l’approprier pour que le jardinier sorte du piège du consumérisme où on l’affaiblit.
- Le choix de semences et de semis de cette année conditionne vos récoltes sur les 3 prochaines années.
- Les plantons doivent être l’exception : ce sont les semis développés dans vos conditions (climat/sol) qui résisteront le mieux aux sécheresses et aléas. Les plantons sont peu armés, c’est une solution « express » sans garantie de robustesse pour chez vous.
- En semant des variétés précoces et tardives, de vos tomates par exemple, vous pourrez en consommer jusqu'à 6 mois de l’année gratuitement !
- Le jardinier complet jardine autrement : de la graine à sa graine.
Les meilleures graines au monde sont… celles de votre jardin, celles déjà en place. Plus le changement climatique se renforce, plus c’est vrai. Apprenez à les récolter (mais il faut vous former pour ne pas faire d’erreur / consanguinité).
Ma méthode, la voici :
- Comprendre
- Agir
Rien ne se joue au hasard dans votre autonomie alimentaire.
Si vous comprenez ce qu’il faut faire (ou ne pas faire), alors agir sera un jeu d’enfant.
Ici, je ne vais pas me contenter de vous donner une liste de semenciers de confiance, je vais vous montrer comment avoir confiance en vous, pour réussir vos semences, vos semis, vos planifications, vos récoltes de semences, pour vous mettre sur la voie de votre autonomie.
Semences : sujet crucial en permaculture, et pour notre avenir tout court.
Je ne suis jamais allée aussi loin dans ce que je vous propose.
Pour vous rendre réellement autonome
(autonomie vient du grec : autos nomos : se fixer soi-même ses propres règles), je vais vous donner une vision humble mais complète qui m’a pris plusieurs mois d’investigation, de rencontres, et de synthèses :
À ce jour, j’ai coaché plus de 380 jardiniers sur cette thématique essentielle.
Voici quelques retours :
Ces personnes sont des lecteurs Saine Abondance qui ont suivi le Programme exceptionnellement complet « Semences et Semis ».
Ce Programme vous informe > vous forme > puis vous accompagne à vie. Véridique !
Il est basé sur les 320 questions les plus courantes que les lecteurs me posent au quotidien sur les semences et les semis, la production de vos semences, et le jardinage naturel en général.
Il est basé de manière chronologique, couvrant les 4 saisons, pour que vous puissiez monter à bord immédiatement.
Il est réalisé avec certains des plus grands pontes du jardinage naturel, de production de semences anciennes et de la sauvegarde des semences potagères d’antan de France – avec qui je travaille. Je vais vous les présenter dans un instant.
Il est exceptionnellement complet, pédagogique, ultra visuel et porteur d’espoir.
Il vous révèle les plus grands coulisses de ce que vous mangez
Vous y découvrirez par exemple :
- Le cofondateur historique du label BIO en France, il vous y dévoile les coulisses, les avancées et les limites du bio actuel (pas mal de changement depuis sa création…)
- Un des premiers maraîchers permacoles de France vous partage ses techniques et ses conseils inédits
Ce programme est un reportage vidéo, photo et textes pour que vous deveniez autonome.
Toutefois, autonome ne veut pas dire isolé.
Vous bénéficierez d’un accès à vie :
- Au forum où je réponds, avec mon Équipe, à toutes vos questions, toute l’année sur les semences et les semis
- À toute la communauté des jardiniers qui s’y forment pour vous échanger des graines ou des conseils
- À plus de 30 vidéos et plus de 60 PDF, soit plus de 3 heures d’écoutes et 350 pages de contenu 100% uniques.
Attention, cette formation SEMENCES & SEMIS n’est pas conventionnelle
La voie du juste milieu
Oui les choses vont mal et vous ne savez actuellement que 10% sont relayées dans les médias,
MAIS OUI il y a des belles nouvelles (semences anciennes et libres, partout dans le monde)
et OUI vous pouvez agir à votre échelle dès ce soir.
Et je ne ferai pas non plus de vous des semenciers, il ne faut pas tout récolter chez vous, je vous expliquerai pourquoi (brassage génétique selon les plantes).
Vous n’y trouverez pas des choses que vous pouvez voir sur internet
Saine Abondance m’ouvre les portes d'experts inaccessibles.
Vous allez être surpris par leurs conseils, confessions et espoirs.
Non, je ne taperai pas sur les lobbies de manière stérile.
Dans cette formation, je ne vais pas passer mon temps à tabasser les lobbies et leur dire qu’ils sont responsables de tout – pour cela, vous n’avez pas besoin de moi [2]
Non, je vais vous donner de l’espoir réel
et surtout des clés pour agir à votre échelle,
car nous sommes en train de vivre un tournant positif,
et plus nous serons à le savoir et à agir, plus beau sera notre futur commun.
C’est votre chance unique d’avoir un accès direct avec des personnes hors de portée qui peuvent changer votre vie.
Ce n’est pas pour rien que le conservatoire de semences anciennes n°1
en France nous soutient depuis nos débuts, et participe à cette formation pépite
Je parle du conservatoire de la Ferme de sainte Marthe en Sologne, initié par Philippe Desbrosses en personne.
Je me suis entourée des plus grands noms pour créer cette formation cruciale.
J’ai l’immense honneur d’avoir toute la confiance et la chaleureuse recommandation de Philippe Desbrosses en personne pour cette formation OVNI !
L’encouragement de Philippe en vidéo :
En réalité, vous le connaissez déjà TOUS si…
…vous mangez bio actuellement
… ou si vous mangez du potimarron
Car c’est lui qui est à l’origine des deux en France !!
Il a marqué positivement toute sa génération, la France et l’Europe.
Pour celles et ceux qui ne le connaîtraient pas, voici une liste non exhaustive des faits majeurs de son parcours :
- L’un des pionniers de l’agriculture biologique certifiée en France
- Il a présidé la Commission nationale de ce label bien connu « AB » de 1983 à 2007
- Fils de paysan, sa famille se met dès 1969 à faire de l’agriculture biologique avant l’heure
- Il crée de ses mains le tout premier conservatoire de semences de variétés anciennes qui fait référence dans le monde entier, aujourd’hui il se nomme Mille Variétés Anciennes. Ils produisent eux-mêmes leurs semences et les vendent au grand public, plus de 1 500 variétés potagères sauvegardées grâce à eux
(leur conservatoire de semences existe bien avant celui de Kokopelli) - Chargé de mission auprès du ministère de l'Agriculture et expert consultant auprès de l'Union européenne, il copilote un chantier du Grenelle Environnement dont l'objectif est le triplement des surfaces cultivées en Bio en cinq ans et l'introduction de 20 % de produits biologiques dans la restauration collective
- Il est membre du comité de veille écologique de la Fondation Nicolas Hulot
- Il crée en 1999 l’association « Intelligence verte » pour la sauvegarde du patrimoine génétique et de la biodiversité, avec des membres fondateurs de grande renommée.
- Il est chevalier de la Légion d’honneur
- Il est officier de l’ordre du Mérite agricole
- Il est agriculteur, scientifique (docteur en Science de l’environnement), écrivain (plus de 13 livres sur des sujets d’urgence)
Bref… l’écouter, c’est gagner 50 ans d’informations choc que personne ne connaît.
Philippe connaît bien Saine Abondance, il lit les infolettres, comme vous !
Son conservatoire de semences anciennes Mille Variétés Anciennes participe à ma revue plantation potagère mensuelle d’ailleurs, puisque son équipe d’expertes contribue chaleureusement à nos parutions.
Et cette fois-ci, ils partagent plusieurs années de savoir et de savoir-faire sur les semences et la production de semence, chez VOUS !
Tout leur savoir et leur savoir-faire enfin synthétisés en vidéo !
Ce sont des parcours de vie ultra inspirants, engagés et militants, positifs.
Ils travaillent dans l’un des rares jardins conservatoires de France pour préserver le patrimoine de nos graines anciennes !
Les meilleurs experts à votre chevet.
Lorsque je lui ai parlé de ce projet de formation Semences, Philippe n’a pas hésité à
participer, et il vous dévoilera des choses que
le grand public ne connaît pas encore !
Voici un rapide exemple choc, et ultra positif :
La Science se penche très récemment sur les bienfaits « prouvés » de ces semences libres, anciennes.
Un jour, Philippe reçoit un appel d’une employée du Ministère de l’Agriculture…
qui souhaite investiguer et prouver ce que Philippe (et d’autres militants pionniers) a toujours su :
La valeur nutritionnelle des semences anciennes, pour le sol ET pour les Hommes !
Eh oui, voici le scoop :
Les graines naturelles sont comme les humains : elles ont un microbiote : c’est le cas des « endophytes » = le microbiote des semences anciennes
Et, sans surprise : les graines de laboratoire… n’en ont pas.
C’est comme faire naître un bébé par les voies naturelles versus dans un milieu 100% aseptisé.
L’un est paré pour être résilient et puissant, l’autre pas du tout.
Si on filait une autre métaphore :
Les endophytes nourrissent les sols, et les sols sains nous nourrissent mieux !
C’est une réelle avancée, merci la Science, et surtout, merci Philippe d’y avoir consacré ta vie pour sauvegarder ces semences anciennes.
Concrètement, les graines avec endophytes sont la solution de notre Avenir :
Exemples :
Fertilité et santé des sols.
Aujourd’hui, les sols des terres d’agriculture conventionnelle s’appauvrissent tellement que les légumes auraient perdu la majorité de leurs nutriments (minéraux, vitamines, oligo-éléments).[10] Les graines F1 ne nourrissent pas les sols. Sans parler de la façon de cultiver (agrochimique).
Goût d’antan, et rusticité
Les endophytes sont les responsables du goût, des saveurs du terroir, de leur grande richesse nutritionnelle. C’est pourquoi les semences anciennes ont le goût d’antan, pas de magie !
Meilleure alimentation et santé des humains.
Si nos sols sont en meilleure santé grâce à des semences qui ont encore leur microbiote, alors les cultures se porteront mieux, comme par magie, et l’alimentation de la population aussi.
Philippe a plein d’autres bonnes nouvelles dans sa besace pour vous – encore méconnues et tellement positives
Les variétés anciennes de lupins pour fertiliser les terres gratuitement.
Le lupin a été anéanti par le soja. Vous savez cette plante qui brûle l’Amazonie : « Si la déforestation continue au même rythme que ces vingt dernières années, près d’un quart de la forêt amazonienne qui subsiste encore pourrait disparaître dans les trente prochaines années, et 37 % dans les 50 ans à venir » [3]
Le lupin est d’une telle richesse, qu’il faut absolument le réhabiliter dans nos jardins et nos champs
Pour fertiliser sa terre, un paysan met entre 120/200/250 de kg d’azote à l’hectare… [11]
La bonne nouvelle c’est qu’une culture de lupin en amont peut laisser jusqu’à 500kg d’azote à l’hectare. [12]
Le lupin n’en reste pas là !
Le lupin n’a pas « que » cette qualité de pourvoir un sol riche en azote, il fait partie des rares légumineuses qui mobilisent le phosphate dans le sol.
Quand on sait que nos gisements vont bientôt disparaître, qu’1 hectare de lupin laisse 100 kg de phosphate à l’hectare et 80 kg de potasse sur les terres les plus ingrates…. Eh bien, on se dit qu’il y a plein de belles choses à faire pour réenclencher un cercle vertueux dans notre société.
Bref, c’est une référence qui vous partage le fruit de toute une vie ! Il vous faut voir ses vidéos interview.
C’est simple, j’ai également contacté le Réseau Semences Paysannes pour ce projet, quant à la légalité sur les semences et leurs valeurs nutritionnelles, et leur retour est clair « Vous travaillez déjà avec Philippe ? Ok alors vous avez tout ce qu’il vous faut sur ce sujet ! »
L’inventeur du potimarron, un succès international !
Qui ne connaît pas le potimarron, de la douceur du marron et le goût du potiron ?
Eh bien des amis de Philippe lui font parvenir de l’île Hokkaido au Japon quelques potirons de différentes couleurs.
Par hybridation naturelle dans son jardin de semences où il fait des tests, il se rapproche gentiment du potimarron qu’on connaît aujourd’hui.
Il lui faudra environ 7 ans pour « fixer » le potimarron
Cette nouvelle variété si caractérisée : petite, d’un orange intense, d’une peau fine, au goût si exquis dans les soupes !
Bêtacarotène : 2 fois plus dans le potimarron que les carottes
Pas étonnant qu’on s’en serve maintenant dans les cosmétiques, les petits pots de bébé, etc…
Évidemment, encore aujourd’hui, c’est la fierté dans leur jardin de semences en Sologne, où nous avons réalisé les tournages vidéos :
Vous serez formé par les experts de renom en France sur la production des semences libres
En suivant leur formation, moi aussi, je peux vous garantir de leur sérieux, et de leur vérité lorsqu’ils disent qu’il faut absolument se former sur ce sujet avant de produire nos propres semences, même et surtout en tant que particulier pour le plaisir, et pour transmettre de vraies bonnes graines.
Ces experts ont accepté de participer à mon Programme de formation en ligne pour que ces savoirs et savoir-faire soient massivement vulgarisés, pour que cela soit simple et accessible au plus grand nombre.
Car savoir ce que l’on mange, et produire notre nourriture, est un droit pour chacun
Un jardinier/citoyen informé en vaut 2
Il sait qu’en tant que jardinier, il a un rôle qui dépasse celui de son foyer.
Il sait que les premiers jardiniers d’il y a 2 000 ans sont ceux qui lui permettent aujourd’hui d’avoir une telle diversité de carottes, de pommes de terre ou de tomates.
Il sait que la moindre de ses actions a un impact. Qu’il est le pont entre le passé et le futur.
Chère lectrice, cher lecteur, cette lettre est vraiment très importante
Que vous décidiez de rejoindre ma nouvelle formation ou pas, je vous livre dans cette lettre tout ce qu’il vous faut savoir pour reprendre en main votre vie, notre monde, car les semences c’est vraiment l’alpha et l’oméga de la Vie sur Terre.
Aujourd’hui, c’est simple, vous avez 2 choix uniquement :
Pour jardiner ou pour vous nourrir, le choix est toujours le même :
Je vais vous former pour savoir faire la différence entre les 2 : graines industrielles, ou naturelles.
Et je vous recommande chaudement de cultiver et manger, autant que possible, des graines NON industrielles.
Pour cela, il faut comprendre une seule chose :
Pour le jardin et votre santé, tout part de la semence.
Une semence industrielle peut créer un cercle vicieux.
Une semence non industrielle va créer un cercle vertueux.
C’est ce qui explique pourquoi Giselle récolte 10 fois plus que son voisin à 3 mètres !
Alors que le jardin de Giselle progresse chaque printemps vers une amélioration à l’infini,
le jardin d’Anthony, lui, stagne ou régresse, car chaque année : il passe par la case départ !
Est-ce votre cas vous aussi ?
Voyons ce cas pratique qui illustre tout ce qu’il faut comprendre.
Giselle et Anthony sont voisins dans une maison mitoyenne, dans le sud.
Ils ont les mêmes conditions :
- Le même niveau de jardinage
- Le même climat
- Le même taux d’ensoleillement
- La même pluviométrie
- Les mêmes canicules
- Le même type de sol
- Presque les mêmes cultures…
- Et tous les deux font de la permaculture…
Mais ils n’ont pas les mêmes semences…
Bilan au bout de 2 ans à peine : le potager d’Anthony fait pâle figure !
La raison : le choix de leurs semences la première année :
Vous le voyez, la semence est le point de départ de tout dans la vie du jardinier…
Il y a d’autres choses à savoir : semences – semis – planification.
Voyons cela.
Voici quelques premiers conseils pour ne rien rater.
SEMENCES
Conseil n°1 - évitez les semences F1 !
« F1, c’est quoi ? »
« Pourquoi ? »
« Oui mais, comment savoir si c’est du F1 ? »
(Plus de 80% des semences potagères ET des fleurs « bio » sont des F1.)
« Ok mais où en acheter les yeux fermés de vraies bonnes semences alternatives ? »
Tout est détaillé dans la formation, voici quelques aperçus.
Pour ceux qui aiment les dessins, voici nos dessins maison qui synthétisent tout :
À l’œil nu, impossible de distinguer une graine F1 de non-F1, et depuis quelque temps, les vendeurs n’ont plus l’obligation de stipuler si c’est du F1 s’ils respectent une certaine quantité du sachet :
C’est une fois en terre, et sur plusieurs saisons, qu’on découvre trop tardivement les vices des graines F1 :
La première année on est d’accord, c’est un bon rendement, bien standardisé comme en agriculture du tout chimique, mais la 2eme POUF, tout s’écroule.
Peu de jardiniers le savent, ils en achètent à leur insu.
Ça a été le déclic pour Brigitte, voici son retour après la formation :
Le problème est multiple, déjà, ces F1 c’est du hold-up sur un bien commun, car les graines sont par définition la voie de l’abondance chaque année, pas uniquement la première…
Mais surtout, c’est que nous vivons une dictature des F1.
Car pour les jardiniers comme pour les agriculteurs, le Catalogue officiel qui autorise la mise en vente sur le marché des semences ne propose presque que du F1 ! [4]
Exemple : le tournesol
Aujourd’hui, le Catalogue Officiel ne promeut que du tournesol F1 ! [5]
Le tournesol étant très cultivé en France, c’est vraiment une aberration, car ce type de plante F1 produit très très peu de nectar, et donc il ne nourrit pas nos abeilles. [13]
Aujourd’hui, 80% des semences du Catalogue sont en fait des semences F1…
…donc privatisées, clonées, non nourricières pour le sol, non soumises à des tests de toxicologie (pour voir les impacts sur la faune et la flore de telles semences pesticidées in vitro).
- Prenons le maïs : dans l’édition 2020 de ce catalogue, 95% des variétés de maïs mis à disposition pour nos agriculteurs sont des F1. (ALERTE !)
- Concernant le melon, au contraire, en 1979 il n’y avait que 5 variétés F1 de melons contre maintenant 249 variétés F1 de melon… [5]
Ces F1, mauvaises pour qui ?
Pour votre santé, pour celle de votre sol, et pour celle des pollinisateurs. [14]
Car ce sont des clones.
Ces semences ont l’air de semence, mais n'en ont aucune vertu !
Ces semences ne nourrissent personne.
Elles nous appauvrissent (santé/alimentation/sol).
Mais elles enrichissent…. Une poignée de multinationales.
Elles sont le contraire de votre objectif d’autonomie alimentaire.
Ces semences F1… ça ne tourne pas rond !
La nature maximise la vie en créant la diversité : aucun clone parmi les 7,8 milliards d’humains.
Dans la nature, aucun clone n’existe (dans le règne végétal comme animal), car ce n’est pas une stratégie de survie : plus il y a de brassage génétique, mieux c’est : résilience, abondance.
Pourtant ces F1 nous font manger du consanguin en permanence
C’est donc contre nature !
Et on commence à voir nos sols, et nos santés appauvries, « comme par hasard »…
Aucun hasard : juste que ces semences industrielles n’ont pas les mêmes intérêts que nous.
- Pour maximiser les rendements, ces multinationales ont créé des clones (je fais court !), et des organismes modifiés (OGM). Et ils ont appauvri notre stock de diversité.
- Aujourd’hui, l’humanité se nourrit à partir d’une trentaine de plantes (contre 500 il y a moins de 100 ans.) Et parmi ces plantes, très peu de variétés différentes de chaque plante.
- Avec ces F1, le rendement est là, mais pas la qualité.
Ni le long-terme.
Ce sont des semences d’ultra court terme, ce qui n’est pas sain, pas naturel.
C’est juste… d-r-a-m-a-t-i-q-u-e :
Et là encore, on ne parle que des semences « F1 », sans parler de leur jeu de dupe avec leurs cousines (OGM, trans OGM, etc..) et leur armada de béquilles ultras nocives (pesticides and co).
Regardez, en moins de 50 ans, on a perdu plus de 75% du patrimoine français de plante potagère libres de droit : [5] et [6]
Les variétés locales et libres de droits se perdent, et les F1 privées prennent le monopole.
Où retrouver
des semences libres de droits, anciennes
100% naturelles et garantes d’abondance chez vous chaque année ?
Vous trouverez plusieurs pistes dans ce document que je vous offre immédiatement :
Je télécharge gratuitement ce cadeau ici
Bien évidemment, j’ai une quarantaine d’autres info cruciales, astuces et techniques sur les semences à vous partager.
Tout est détaillé dans votre formation (vidéo et PDF), qui vous accompagne toute cette année, et encore autant d’années que vous le voudrez, mon but : vous donner l’autonomie sur ce sujet crucial.
SEMIS
Conseil n°1 – penser à varier les variétés de chaque plante
pour étaler les récoltes presque toute l’année
Peu de débutants le savent, mais la majorité des plantes ont la même horloge interne :
Elles ont le même TOP départ !
Cette astuce vaut pour la majorité des plantes, et surtout pour les tomates.
Au lieu de vous contenter de celles insipides des magasins, ou des variétés classiques des jardineries, (re) découvrez celles locales, oubliées, anciennes !
Je vous ai préparé un guide cadeau qui recense mon coup de cœur de 15 variétés de tomates à semer.
Je télécharge gratuitement ce cadeau ici
Mais ce n’est pas tout, conseil n°2 :
Ne ratez plus aucun semis, il y a 12 étapes clés à suivre dans l’ordre pour vous assurer de savoir faire les bons gestes :
- Quel contenant
- Quelle terre
- Comment tasser la terre au plus juste
- Combien de graines par godet (généralité et spécificités)
- Comment recouvrir de terre
- Comment arroser
- Comment maximiser la germination
- Que faire les premiers jours
- Puis les premières semaines
- Quand repiquer (et ce que cela veut dire) ou quand planter directement
- Etc !
Ce document BONUS pour vous attend dans votre plateforme de formation :
Ce cadeau est accompagné de toute la partie n°3 de votre formation – plus de 9 PDF pour maîtriser tous les gestes.
C’est une partie cruciale pour gérer tous les semis, leurs maladies à éviter, leur entretien, etc, comment les repiquer, mais comment faciliter le démoulage, comment replanter en terre ou en bac.
Gage de main verte pour n’importe quel semis ! Vous aurez accès à toutes les étapes ultras bien expliquées.
En effet, j’ai remarqué que sur ce sujet des semis, rien ne vaut des vidéos.
Vous aurez donc toutes les vidéos qui vous donnent les bons gestes, pour outiller et rassurer les débutants.
La bonne pression, le bon geste, le bon dosage : tout sera visuel, comme si on jardinait vous et moi en temps réel, ensemble.
PLANIFICATION AUTONOMIE ALIMENTAIRE
Conseil n°1 – Suivez mes 6 étapes
Avoir de bonnes semences et réussir vos semis pour que ces semences précieuses ne se meurent pas, c’est crucial.
Mais ce n’est qu’une étape parmi ma méthode des « 6 étapes de la planification alimentaire ».
Cette méthodologie en 6 étapes est relativement simple, mais pas pour autant facile à faire.
Disons qu’il faut s’y tenir, car si on vise de grosses récoltes en permaculture, il faut être préparé.
Ce n’est pas du hasard.
Allez, là encore, je vous offre ce cadeau immédiatement, il suffit de cliquer ci-dessous :
Je télécharge gratuitement ce cadeau ici
Bien sûr ces 3 conseils sur ces 3 étapes (semence – semis – planification autonomie alimentaire) ne représentent que 1% de ce qu’il vous faut savoir, et savoir-faire.
Les 99% sont dans votre plateforme de formation.
Dans votre plateforme vous y verrez tous les conseils pour savoir quelles graines récolter ou non chez vous, et comment.
C’est simple cette formation est exceptionnellement simple, complète, agréable, vitale, et urgente pour vos plantations et récoltes.
Cette page est le seul endroit où vous avez accès à cette formation essentielle
C’est un OVNI, vous pouvez regarder en ligne : il n’y a pas de formation à distance sur ce sujet si crucial à ma connaissance.
Ou alors quelques notions introductives : rien de si complet, d’une telle qualité, axé permaculture.
Là, Saine Abondance, et notamment Philippe Desbrosses, et l’équipe du Jardin-Conservatoire 1000 Variétés Anciennes de la ferme historique de Sainte Marthe vous livrent sur un plateau d’or :
- des savoirs millénaires de plantation
- et de production de graines
- des découvertes ultras récentes du Ministère de l’Agriculture
- comment passer directement à l’étape supérieure
C’est ma formation la plus complète
sur la base n°1 en permaculture :
LES SEMENCES, COMME VOIE D’AUTONOMIE GLOBALE
avec différents acteurs filmés sur le terrain :
scientifiques, agriculteurs, maraîchers, jardiniers, permaculteurs, militants, parents, ingénieurs horticulteurs, docteurs en science de l’environnement
Formation réalisée avec plusieurs interlocuteurs, tous experts.
Information > formation > et accompagnement/coaching à vie
accès à vie à tous les contenus et le forum
Aucun aspect n’a été laissé au hasard.
L’autonomie alimentaire grâce au potager, c’est une savante préparation.
Rien n’est laissé au hasard.
Je vous épargnerai toutes les erreurs qui coûtent cher.
Toutes les choses à faire, et celles à ne surtout pas faire.
Et ce que vous pouvez (devez) faire, dès ce soir.
Je vais détailler un peu votre contenu inédit, ce sera plus clair :
L’objectif : faites le bon choix
Découvrez l’envers du décor, surprises assurées !!
Derrière chaque plante au potager, chaque fruit ou légume acheté : il se passe une guerre sanguinaire au sujet des semences, depuis moins de 50 ans, vous devez savoir, vous pouvez agir.
Mais derrière chaque problème, se cache déjà des solutions méconnues du grand public.
Cette première est la base, je vous conseille de commencer par là votre formation.
Plus de 10 vidéos et 12 PDF :
Bien, maintenant, vous savez,
contrairement à 8 jardiniers sur 10, et 9 consommateurs sur 10.
Place à l’action !
L’objectif : L’assurance d’avoir les meilleures graines possibles
Ne faites pas les erreurs de débutants :
- si vous avez déjà des graines chez vous
- ou si vous n’en avez pas du tout
Dans les 2 cas il y a des choses à faire, et ne pas faire.
2 vidéos et 10 PDF :
Les parties 1 et 2 de mon programme vous forment à être autonome sur le choix des semences
- Vous saurez enfin répondre à cette question « qu’est-ce qu’une bonne graine » pour juger les semenciers à qui vous faites confiance, ou le sachet inconnu qu’on vient de vous offrir.
- Vous saurez si vous voulez privilégier les semenciers qui produisent eux-mêmes leurs semences (comme Mille Variétés Anciennes par exemple) ou ceux qui les achètent à des producteurs disséminés, et même hors France (Kokopelli par exemple), en fonction de vos critères.
- Vous êtes intéressé par l’ultra local de votre région ?
Encore mieux découvrez mon initiative unique au monde : le Catalogue ultra local des semences libres – par Saine Abondance
Il existe des tas de tout petits semenciers locaux qui ont besoin eux aussi de votre soutien, et qui perpétuent les variétés qui sont les meilleures pour vous, celles de votre région depuis des siècles !
Ils ne se connaissent que par le bouche-à-oreille, il n’existe aucune initiative (privée ou publique) pour les recenser.
Alors je vous propose qu’on le fasse, vous, et la communauté Saine Abondance.
Vous trouverez cela dans mon site web, et votre plateforme de formation.
Vous voilà déjà plus avancé que la majorité des jardiniers bien intentionnés.
Maintenant place à l’étape la plus cruciale, celle qui fera de vous (ou non) un jardinier autonome capable de donner vie à n’importe quelle semence – sans passer par la case planton de la jardinerie du coin.
C’était la base avant 1950, c’est devenu une compétence rare aujourd'hui.
Réappropriez-la-vous :
L’objectif : que vous pulvérisiez vos records de récoltes avec plein de plantes gratuites
dont il vous faut réussir le semis.
Je me suis vraiment mise dans la peau des débutants.
En fait, je me suis rappelée mes débuts, et j’ai créé tout ce que j’aurai aimé avoir à l’époque.
Ne ratez plus aucun semis vous non plus !
Maintenant que vous avez une bonne graine entre vos mains, ça vaut de l’or.
Maîtrisez enfin l’art des semis pour avoir la main verte à vie.
Je constate que même les jardiniers les plus expérimentés ont plein de questions sur les semis.
Voici la voie royale pour réussir vos semis :
1 videos et plus de 18 PDF
J’ai réalisé un tour de force
Pour centraliser tous mes conseils sur les semis, pour que vous maîtrisiez une fois pour toutes ce sujet si important.
J’ai donc créé 60 PDF pour vous aider chronologiquement.
Oui, 60 PDF, car je sais que c’est le format le plus facile pour lire et relire, mais vous aurez aussi une trentaine de vidéos.
Au programme :
✔ Comprendre le processus avant d’agir
✔ Avoir accès au calendrier annuel des semis (on peut faire tous les jours de l’année, et je vous le recommande pour étaler vos récoltes) pour planifier comme un pro
✔ Mettre toutes les chances de votre côté, ex :
Comment ne semer QUE celles qui vont vraiment germer, et comment le savoir
Astuces pour les graines achetées en sachet type jardinerie
Et pour les graines des grainothèques (surtout même !)
Comment déterminer le taux de germination
Et surtout, en fonction de l’âge de vos graines…
✔ Un matériel gratuit (si vous le souhaitez) mais efficace :
Contenant
Substrat pour la culture
✔ Une méthode simple selon les 2 types de graines
Arrosage
Ensoleillement
Profondeur et distance
Quantité de semis
Méthode avec les alvéoles ou pas
✔ Une grille de lecture pour corriger les erreurs au plus vite
Comment identifier un semis qui ne prend pas
Comment les décrypter
Le nombre de jours pour observer les premiers cotylédons
Vous y découvrirez mes secrets des semis réussis un peu toute l’année !
Si vous êtes OK de créer une mini pépinière sur 50cm, un rebord de fenêtre ou votre terrasse, alors vous allez vous constituer un jardin gratuit à jamais.
Vous pourrez même en offrir, ou les revendre autour de vous.
Ne vous privez plus des semis 100% réussis, toute l’année :
✔ Pour des plantes plus robustes, à renforcer avec quelques techniques, plus de récoltes
✔ Pour des économies considérables (cf budget plants bio en jardinerie…)
✔ Pour jardiner en intérieur dès maintenant et préparer votre pépinière de printemps
✔ Pour jardiner même sous serre, ou châssis chaud à faire chez vous
✔ Pour gagner une saison d’avance avec des récoltes primeurs de qualité
✔ Et enfin, bien sûr, pour l’émerveillement de la Vie, à partager sans modération aux enfants
Bien, ne vous arrêtez pas en si bon chemin.
Souhaitez-vous devenir un jardinier complet, en cultivant de la graine à vos graines ?
En récoltant chaque année vos propres graines ?
Oui ça fait rêver, oui c’est possible, mais non tout n’est pas souhaitable.
C’est un vrai métier, un vrai sujet.
Ce n’est pas pour rien que je suis allée tourner ces modules vidéo avec certains des experts n°1 en France de la production et conservation de semences anciennes.
Il y a des choses que vous pourriez faire seul en sécurité, d’autres qui ne sont pas du tout recommandées.
L’objectif : cessez d’acheter chaque année les plantes ou les graines qui ne demandent qu’à repousser chez vous, comme d’antan
Vous avez envie de produire vos propres graines du potager ?
Des fleurs si belles qui décorent votre jardin ?
Ou de vos engrais verts pour fertiliser le sol les automnes et les printemps ?
OK mais ne faites pas ces 3 erreurs classiques !
- 1 – Récolter les graines des fruits et légumes du supermarché pendant votre cuisine
(double peine : la majorité sont des graines F1, et les graines pas mûres !) - 2 – Récolter les graines alors qu’elles ne sont pas mûres
qu’ils viennent du marché bio, ou de votre jardin, il faut attendre qu’ils soient sur-mûr, presque « pourris », en tout cas le peau bien flétrie
Poivron sur-mûr : OK récolte de ses graines
Poivron normal : graines pas mûres ! ne pas récolter, c’est stérile…
Il y a quelques bases « contre intuitives » tant qu’on ne connaît pas le cycle de la plante.
Pour les tomates, il y a même une technique tomate fermentée, pour vous assurer de bonnes graines matures et faciles à extraire.
- 3 – Récolter le meilleur pied de légume du jardin
Non, il faut le laisser pour en faire un « porte-graine » et là encore il faut avoir l’œil
Je vous formerai sur toutes les bases de manière ultra simple (contrairement aux livres de botanique trop compliqués) et on s’attardera sur ce qui vous intéresse au potager, en fleur et en aromatique, pour ne produire que ce dont vous avez besoin, de manière réaliste et agréable.
Et si vous aimez les courges, courgettes… il vous faut absolument maîtriser ce sujet pour ne pas faire d’erreur.
C’est arrivé à Marcel !
« Une sexualité débordante, les coquines »
Les plantes appartenant à la famille des Cucurbitacées se croisent hyper facilement entre elles.
Que ce soit dans votre potager ou avec celui du voisin, surprises assurées si vous semez les graines de vos cultures.
C’est arrivé à Marcel, qui a créé une nouvelle variété nommée la Patigette !
Marcel a semé dans son jardin ces 2 plantes :
Patidou Courgette
Le malheureux, il pense qu’il ne craint rien, car il a une seule variété de courgette au jardin.
Ce qu’il ne savait pas, c’est que les courgettes peuvent s’hybrider avec des non-courgettes !
Résultat, le patidou et la courgette font des coquineries et Marcelle découvre son ovni : un mélange des 2, d’où le nom doux de la patigette.
Ici, Marcel ne risque rien, mais souvent les courges hybridées peuvent être toxiques : si elles se croisent avec des courges ornementales par exemple.
En fait, pour s’hybrider, les plantes doivent être du même genre, ou de la même espèce
C’est du chinois pour vous ?
C’est pourtant essentiel en jardinage, ma formation Semences & Semis vous explique tout cela simplement, pour les 20 légumes du quotidien au potager.
Je vous conseille de vous former sérieusement : des hybridations, il y en a tout le temps, car c’est naturel, mais rarement su !
C’est comme avec la carotte sauvage, qui peut donner lieu à des hybridations très toxiques, très graves.
Avec ces 4 parties, vous êtes paré !
Mais ce n’est pas tout. De nombreux cadeaux vous attendent…
BONUS sur les meilleures tomates au monde : pour semer un jardin d’abondance de tomates à récolter pendant 6 mois !
Les meilleures tomates au monde ?
Celles de votre jardin, même si votre sol n’est pas encore autant vivant que vous le souhaiteriez (ça prend 3 ans en permaculture pour transformer un sol ingrat en oasis fertile).
Véridique : c’est LE fruit cultivé dans tous les jardins de France
Et dans le reste du monde entier… en à peine 75 ans.
Mais, véridique aussi, c’est LE fruit le plus dévoyé, pesticidé, les tomates ressemblent aux tomates mais n’en sont plus. Même au goût on s’en rend compte… [15]
Car s’il y a bien un fruit insipide des supermarchés, qui met tout le monde d’accord pour en cultiver chez soi-même en pot : les tomates.
Même achetées bio, les déconvenues peuvent arriver.
D’ailleurs, tellement de coulisses graves et cachées sur les tomates que vous achetez (en graine, en fruit frais, ou en conserve)… Ça fait froid dans le dos.
Je vous ai préparé des dossiers cadeaux pour tout savoir sur ce fruit star, et pour ne plus vous faire arnaquer.
Allez-vous relever le défi de ne plus acheter aucune tomate cette année ?
Je vous montre comment en 3 étapes :
Première étape, rêver : il existe plus de 7 000 variétés de tomates
Non, elles ne sont pas toutes rondes et rouges, c’est archi faux, c’est l’industrie qui les a ainsi formatées comme des objets d’usine bien calibrés.
Voici quelques variétés que j’adore :
La tomate groseille champagne
La tomate noire bacchante
La tomate poire jaune
toutes des mini tomates, car ce genre de variété ont les meilleurs rendements sur les petits espaces, et en plus elles permettent plusieurs récoltes (contrairement aux variétés grimpantes ou buissonnantes).
Ces tomates cerises sont donc adaptées même en ville, pour ceux qui n’ont qu’un pot (de 30L de capacité min pour avoir au moins 2 récoltes).
Je viens de semer 6 variétés différentes :
Et vous ??
Et rappelez-vous, je vous offre également ma bible des 10 variétés de tomates allant des ultras précoces aux ultras tardives pour récolter des tomates pendant 6 mois de l’année de votre jardin, de manière totalement naturelle et locale.
Deuxième étape, rêver : quantifier les économies à gagner
et surtout celles santé !
Que vous jardiniez ou pas, la tomate est le fruit le plus consommé en France. [16]
Et chaque année, ce chiffre augmente ! Récemment, c’était plus de 15kg de tomates fraîches par an par moyenne par personne en France.
Les calculs sont rapides :
On ne consomme des tomates des marchés/supermarchés qu’en période d’été, soit plus de 4Kg de tomates / mois aux beaux jours par personne (sans compter les cantines et restauration collective).
Le prix des tomates bio au marché est actuellement de 4€ le kilo d’ailleurs…
Mais voici un calcul inconnu :
La consommation de tomates transformées (coulis, sauce, tomate séchée, pelée, etc…) atteint plus de 18Kg par personne par an. [7]
Sous différentes en forme, on mange plus de 35kg de tomates par personne et par an !
Pourquoi les acheter alors que c’est si facile à cultiver même sans jardin, que ça coûte cher ou que c’est malsain ? (J’y reviens dans un instant).
Troisième étape, si vous achetez des tomates :
être conscient de ce qui se cache derrière !
(même si « bio »)
Plus de 90% des tomates qui servent à faire les sauces de vos plats ne sont pas du tout celles que vous croyez être.
C’est simple : elles n’ont juste rien à voir avec ce qu’on appelle « tomate »
Celles rondes, rouges, appétissantes, fragiles.
Là elles sont conçues comme des obus de guerre : lourdes (sans eau ou presque), pas forcément rouge, oblongue, hyper résistante pour tenir les chocs de faire plusieurs fois le tour du monde en cargo, avion, train, camion, jetées à même des barils ou des caisses.
Ce sont les agronomes eux-mêmes qui les appellent « les tomates de combat » [8]
Des tomates de seconde classe, créées uniquement pour ce qu’on attend d’elles dans l’industrie : tenir des mois, produire un max, être transportées partout dans le monde.
Des tomates que personne n’arrive à prendre en photo comme par hasard.
Mais l’astuce pour s’en rendre compte :
- diluez une sauce tomate de votre grand-mère dans de l’eau, ça garde goût et consistance de tomate
- diluez celle dont vous avez un doute dans de l’eau, ça devient de l’eau… rouge > « tomate de combat »…
Et derrière cette industrie de la tomate de sauce, plusieurs « scandales », par exemple : [8]
- le soi-disant « made in France », alors que l’unique dernière usine de conservation en France dans le sud (« Le cabanon ») a été rachetée par le leader Chinois de l’entreprise la Xinjiang Chalkis Company Limited, en 2004 (c’est l’exportateur mondial de tomates).
Depuis, les producteurs locaux de tomates ne peuvent plus vendre à l’ancienne coopérative « le cabanon » leurs récoltes locales. La firme devenue chinoise importe uniquement ses tomates (à comprendre tomate de combat) depuis la Chine.
Et pourtant, c’est bien estampillé « fait en France » avec le logo provençal qui donne le change. Tant que « l’assemblage » est fait en France, on peut surfer sur les provenances…
- La tomate est devenue le nouvel « or rouge » sanglant… mais ultra rentable. Un lieu de mafia, de conditions de travail innommables en Chine et en Afrique notamment, et les plus grands semenciers industriels créent chaque année de nouvelles semences brevetées – nous ne mangeons plus que quelques tomates universelles. Alors qu’il en existe plus de 7 000 variétés naturelles, aux bienfaits ancestraux lorsqu’elles ne sont pas trafiquées.
- Ou encore le fait qu’en France, la culture de tomates a quitté les champs de pleine terre pour n’être produite plus que sous serre, dans de l’eau, sans terre vivante et ses bienfaits nutritionnels inégalés !
- 90% des « vraies » tomates de France sont produites sous serre et dans des tubes de « solutions nutritives », aux qualités douteuses comme le souligne le reportage Cash Investigation [9]
- Plus de 80% des tomates « bio » sont en réalité des semences F1, on en a parlé plus haut.
Pour être un permaculteur autonome en tomates saines de chez vous cette année et dans les années à venir
Il faut également cultiver vos connaissances sur la plante.
Savez-vous d’où vient la tomate ?
Et comment est-ce possible qu’en moins de 50 ans
elle ait été tant adulée au point d’être dévoyée par l’industrie ?
Vous saurez tout dans ce document pépite qui retrace l’Histoire de la tomate :
Par exemple :
Si vous montrez votre belle tomate du jardin à un habitant des Galapagos, il vous rira au nez !
Et il a raison, les tomates viennent en partie de cette île mystérieuse, et d’autres pays très proches de l’Équateur, comme la Colombie ou le Pérou.
Là-bas, les tomates étaient des lianes comme chez nous du lierre, qui produisent toute l’année.
Et leurs fruits, du violet au jaune, en passant par le vert et l’orange, de diverses formes : bien loin des tomates rondes et rouges.
Là-bas, il y a des espèces de tomates qui poussent facilement à plus de 3 000 mètres.
Mais que s’est-il passé ?
Pourquoi chez nous elles ont des plantes annuelles, et toutes rouges et rondes ?
Et pourquoi elles ne poussent pas en altitude chez moi ?
Parmi les 7 000 variétés de tomates, ils n’en ont repéré que quelques-unes
Ils ?
Les premiers généticiens : Vavilov en Russie, ou encore Charles Darwin aux Galapagos !
Tout date depuis 1950 à peine
Pour en venir aujourd’hui à une industrialisation de la tomate rouge et de sa cousine la « tomate de combat », il fallait bien quelques critères de départ…
C’est une variété endémique des Galapagos justement qui donne le premier fil de la pelote. [8]
Je vous fais l’histoire en très rapide :
- En Californie, durant la Seconde Guerre mondiale, il manque beaucoup de main d’œuvre pour récolter les tomates dans les champs. Impossible de les récupérer avec les machines actuelles comme pour le blé : les tomates deviennent instantanément une bouillie mélangée à la terre et l’acier.
Non non, il faut trouver une machine adaptée pour la récolte de tomates,
et en parallèle, adapter les tomates aux machines ! - Pour rendre les tomates plus robustes, et bientôt « industrialisables » il faut à la base un gène capable de fortifier tout cela. Ce gène, on le trouvait dans une variété spéciale des Galapagos.
Le gène « j-2 » de la variété de tomate Cheesmanii
Ce gène, vous le retrouvez aujourd’hui dans toutes les tomates du monde – celles de l’industrie. - Mais l’Histoire n’était pas si simple : cette variété de tomate ne poussant qu’aux Galapagos, les Californiens ont bien du mal au départ à comprendre comment réussir leur semis (eux aussi).
Puisque c’est endémique, il doit y avoir UN facteur qu’on ne trouve qu’aux Galapagos qui permet la germination de ces graines de tomate… Ils auront tout essayé…
Jusqu’aux excréments… de tortues de Galapagos, et là, BINGO !
Les généticiens américains se font livrer par avion de gros colis… spéciaux : de caca de tortues géantes des Galagos qui ont mangé des tomates de chez elles.
Et là, oui, après une telle digestion, les graines peuvent germer.
- 1961 : premier jackpot en Californie, tomate et machine (la VF-145) sont nouvelles et prêtes pour leur ascension de la mondialisation.
Vous découvrirez plein d’autres détails passionnants sur la tomate, sur son Histoire, sur le fait qu’au 19ème, on était loin de la penser comestible (et à raison), etc…
C’est loin d’être anecdotique : c’est transmettre à nos enfants et nos proches la valeur essentielle des cultures : la culture, ce patrimoine commun, qui remet les pendules à l’heure en temps de simple consommation.
Je sais que tous les lecteurs Saine Abondance sont fan de tomates, les vraies, celles d’antan !
Il n’y a pas un jour où on me pose des questions sur les tomates…
Par exemple dans un récent sondage sur les semis :
Eh bien vous aurez tout dans ces dossiers cadeaux ;
Culture générale – guide du semis – variétés à privilégier – tuto jardinage jusqu’à la récolte et comment éviter les tomates vertes de fin de saison…
+ des vidéos tutos !
De quoi faire un max de récoltes, et de conserve maison comme nos grands-parents : coulis, tomates séchées, sauce maison
Autonomie en récoltes fraîches dès printemps - été
Faites-en des conserves pour une autonomie automne-hiver, jusqu’au printemps
Récapitulons-nous
Aujourd’hui, c’est le meilleur moment pour vos former, ou perfectionner :
- En semences naturelles
- En semis maîtrisés
- En production de vos propres semences
- En planification au jardin pour les 4 futures saisons
Pour y arriver, je vous propose une formation complète + un coaching à vie à votre demande
- Via un accès à vie à la plateforme de formation
contenant vos 3H videos et plus de 350 pages de fiche recap et tuto. - Via un forum où je réponds chaque semaine aux questions sur ces sujets, et où vous pouvez échanger avec les autres participants (troc de graine, entraide, etc… une mini communauté bienveillante).
Ce Programme est élaboré avec certains des plus grands jardiniers et semenciers naturels de France
Je pèse mes mots.
On les a vu plus haut, il s’agit notamment de :
- Philippe Desbrosses, co-fondateur du label bio en France, pionnier en France de la sauvegarde des semences anciennes dans sa ferme historique de renommée Ferme Sainte Marthe (celle en Sologne : la vraie !)
- Ainsi que son équipe ultra experte de terrains du Jardin-Conservatoire de 1000 variétés qui opèrent dans leur domaine de la ferme, je pense notamment à Isabelle Poirette et Véronique Bonaventure
- Mais aussi à d’autres participants pépites de cette formation comme un très jeune Antoine vers Angers, qui a crée avec son associé un des tout premiers maraîchages 100% permacole – une avancée de taille dans les coulisses de l’agriculture et du maraîchage, pour prouver que sur grande surface, c’est possible et souhaitable.
Dans cette formation, on ne parle pas que de jardinage :
– Agriculture,
– Maraîchage
– Jardinage
Comment ça se passe en réalité ?
Y a-t-il des initiatives positives, des choses qui changent en faveur de la permaculture ?
La réponse est OUI, vous découvrirez son exploitation maraîchère permacole qui est un OVNI en France
Chez lui, on entend les poules gazouiller à côté de ses planches de cultures, les grenouilles plonger dans leur mare, et les rires de bénévoles qui viennent spontanément frapper à sa porte pour passer quelques heures l’aider, ou se ressourcer dans ce havre de paix.
Antoine est un ingénieur horticole à la base, qui a travaillé à l’INRA avec les experts sur les semences
Jeune papa, et attaché à une nourriture de qualité, il a cofondé une exploitation de maraîchage qui fait rêver tous ses voisins parce que ses premières années donnent des résultats ultras encourageants pour tous ceux qui veulent vivre leur rêve de produire mieux, tout en se payant bien !
Antoine est d’une sagesse et d’une pédagogie époustouflantes, il répondra à toutes les questions des jardiniers amateurs, et chevronnés !
Il n’existe aucune autre formation en ligne de ce genre à ma connaissance
Ce programme est un OVNI tant il est complet :
Société – alimentation – jardinage – semis – production de graines – botanique – juridique
C’est le fruit d’un travail minutieux de longue haleine :
- J’ai mené une enquête de terrain,
- J’ai lu les ordonnances légales,
- J’ai rencontré différents experts et acteurs pour avoir une vision 365°
Ce programme est également très attractif
Et pourtant le plus complet : semences ET semis ET production de vos graines ET jardinage,
le tout pour un coaching à vie : dès que vous avez une question, vous la poserez dans votre plateforme, et nous y répondrons.
Que ce soit ces 4 prochaines semaines, ou ces 4 prochaines années.
Voici le retour des premiers participants :
Oui les choses vont mal, mais OUI vous pouvez agir !
Vous ne voulez plus :
Vous faire avoir (semences/ F1/bio).
Participer sans le vouloir au hold-up mondial sur les semences privatisées.
Acheter chaque année graines et plantons alors que l’abondance se trouve déjà dans vos mains.
Cultiver des graines appauvries.
Vous voulez votre liberté :
Tout vient des semences.
C’est la base de la permaculture.
Et de notre alimentation /société.
Du tournant de l’actualité :
…quand on pense que lors du premier confinement, les graines et les plantons n’étaient pas considérés comme des produits de première nécessité… cela montre le déracinement de notre autonomie au quotidien.
Réappropriez-le-vous dès maintenant
Tout cela sans prise de tête, avec du bon sens grâce à votre formation printanière :
Assurez-vous de trouver de vraies bonnes graines
Maîtrisez l’art des semis toute l’année
Sachez produire vos propres graines
(en offrir autour de vous !!)
Avec des graines libres, et locales, on a tous la main verte, car c’est la graine adaptée qui fait t-o-u-t.
En tant que consommateur et jardinier, nous avons tous un double pouvoir. Le voici :
Ma formation vous outille très concrètement :
- Ce qu’il faut savoir, pour faire les bons choix (achat fruit/légume, ou achat semence)
- Ce qu’il est possible de faire, au jardin ou en pot
- En maîtrisant le sujet des semences et des semis, pour vous mettre sur la voie de l’autonomie.
Cela pourrait pallier tous ces problèmes reliés :
- Les semis qui ne lèvent pas
- Les plantes qui poussent mais mal, et qui ne résistent pas aux premières intempéries ou les nouvelles conditions (canicules, orages…)
- Les légumes du supermarché qui n’ont pas de goût, et qui pourrissent ultras rapidement alors qu’ils étaient tout beaux la veille
- Une assiette appauvrie !
Agissez sans les erreurs des jardiniers bien intentionnés :
Comme semer des graines F1 sans le savoir.
Comme récolter vos graines au mauvais moment, alors qu’elles ne sont pas 100% mûres.
Comment semer des graines offertes du voisin ou d’un inconnu, ou de chez vous, mais qui ont été hybridées avec parfois des cas dangereux de légumes impropres à la consommation.
Comme un mauvais tri des graines et une mauvaise conservation qui anéantit le taux de germination de toutes vos graines.
Et la liste est longue…
Un tournant en France :
Depuis l’été 2020, la législation n’est pas revenue en arrière sur sa loi permettant aux semenciers de semences libres d’exercer légalement.
Si une majorité de citoyens se forment avec mon Programme, et en informe ses voisins, ses élus locaux, etc., les autorités verront que les citoyens se mobilisent en masse pour approuver et approfondir ces combats de semences libres – un patrimoine commun de l’Humanité à préserver des lobbies.
Un dessin vaut mille mots sur cette valse juridique « un pas en avant, un pas en arrière » :
C’est une double aubaine pour vous, et notre futur
Vous formez vraiment au meilleur moment.
Combien ça coûte ?
Le programme de formation + le coaching à vie coûte uniquement 147€ en seulement 3 paiements de 49€.
Il m’est important d’expliquer ce tarif sacrifié :
Fixer un prix à cette formation essentielle a été très difficile, elle est d’une valeur inestimable !
C’est littéralement vous former pour vous réapproprier votre autonomie grâce aux semences, aux semis, puis vos semences.
Toutefois, pour garantir le juste prix pour rémunérer tous les experts qui ont contribué à cette formation, pour tous ceux qui m’ont aidée à les transmettre de manière professionnelle et pédagogue (vidéaste, graphistes, illustrateurs…), le coût normal de cette formation dépasse les 800€.
+ le sujet crucial et urgent (santé/société)
+ ma volonté de garder des formations à prix accessibles
(Contrairement à de nombreuses pratiques de formation permacole en ligne…)
= Seulement 147€ pour la formation la plus complète possible, et avec coaching à vie.
Dès le paiement :
- Vous avez accès à votre plateforme de formation contenant tous vos contenus
- Vous bénéficierez d’un droit de rétractation pendant les 15 premiers jours de votre formation ( à compter de la date d’achat) : si vous pour une raison X ou Y vous devez arrêter la formation, alors vous pourrez m’envoyer un email à florence@saine-abondance.com et je vous rembourserai sans vous demander de justification.
Faites confiance à ceux qui sont déjà dans ce Programme, et venez les rencontrer dès maintenant !
Et vous avez toujours la possibilité d'annuler votre commande.
À vous l’autonomie des pro, et les récoltes savoureuses d’antan !
IMPORTANT : cliquez UNE SEULE fois sur les boutons pour valider votre commande/paiement.
Car 1 clic = 1 débitement.
Sources :
[1] Normalement, j’avais toujours cru qu’ils ont l’obligation de stipuler « F1 » ou « hybride » sur les sachets de graine, mais j’ai appris durant mon stage semence chez Mille Variétés Anciennes qu’apparemment, depuis les polémiques sur le sujet F1 dans le grand public, les semenciers ne sont plus obligés de le stipuler pour une certaine quantité, en respectant un seuil de poids.
[2] Il y en a des tas, je vous recommande en particulier :
Le documentaire « La semence dans tous ses états » de Christophe Guyon
Le documentaire « La guerre des graines » de Clément Montfort et Stenka Quillet
Je pense créer un article de documentaires à recommander sur ce sujet, à poster sur mon site web. Si vous avez une liste de documentaires sur l’enjeu des semences que vous recommandez, n’hésitez pas à m’écrire à florence@saine-abondance.com
[3] https://wwf.be/assets/RAPPORT-POLICY/MARKETS/FR/le-boum-du-soja-version-longue-bd-1.pdf
[4] Voici à ce sujet un propos de Frédéric Latour, salarié du Réseau des semences paysannes
« En bio, on trouve essentiellement des semences commerciales et hybrides. Le cahier des charges bio ne porte pas sur les semences, mais sur leur mode de culture. 80% des semences bio au catalogue sont hybrides ou de lignées pures, à savoir des clones. C’est la réalité aujourd’hui, » regrette Frédéric Latour.
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/8958/reader/reader.html#!preferred/1/package/8958/pub/12482/page/8
https://www.femmeactuelle.fr/deco/deco-d-exterieur/contre-pesticides-bonnes-graines-semences-paysannes-2016533
C’est le principe des graines inscrites au Catalogue Officiel : elles y sont inscrites par quelqu’un qui en est devenu propriétaire, pour une durée de 10 ans renouvelable jusque 25 ans, puis elles passent dans le domaine public. La détention de propriété sur la semence implique pour son propriétaire des royalties, et pour celui qui les utilise une stérilité juridique puisqu’il n’a pas le droit de les réutiliser dans son champ, il doit racheter des semences du Catalogue.
[5] Voir plus de détails sur les chiffres de cet effondrement dans l’ouvrage bible « Semences de Kokopelli », de Dominique Guillet, leur 15ème édition.
[6] voir aussi les données de Mille variétés Anciennes, qui reprennent cet effondrement d’une statistique de l’ONU.
[7] Planetoscope avec diverses études du ministère de l’agriculture, et de l’Insee.
[8] Ouvrage L’empire de l’or rouge (je recommande !!) de Jean-Baptiste Malet
[9] Reportage Cash Investigation – « Le scandale de la tomate »
[10] La valeur nutritionnelle des aliments a-t-elle diminué depuis 60 ans ? de Léon Guéguen
[11] Guide de calcul de la dose d’azote à apporter sur les culture et les prairies – Chambres agriculture des hauts de France
[12] Lupin Culture – Agridea
[13] La pollinisation du tournesol – Agnès Fayet
[14] https://medecine-integree.com/les-semences-f1/
[15] https://www.doctissimo.fr/nutrition/diaporamas/10-fruits-legumes-plus-pollues/tomates