Guérir la terre, nourrir les Hommes
Guérir la terre, nourrir les Hommes
Chère lectrice, cher lecteur,
Alors que les glaces fondent, les insectes disparaissent, le plastique envahit les océans, la 6e extinction s’accélère…
Les hommes continuent, comme des somnambules, à massacrer l’environnement, brûler des hydrocarbures, préparer un avenir infernal à leurs enfants et petits-enfants.
Dans la légende du Joueur de Flûte de Hamelin, les enfants ensorcelés partent en chantant se noyer dans la rivière.
La majorité marche, comme ensorcelée, et se précipite dans la rivière comme dans le Joueur de Flûte de Hamelin.
Mais une poignée de pionniers, militants, résistants, inventent un autre avenir.
Ils se sont attelés au projet fou mais incontournable d’inventer une nouvelle façon d’être et de vivre, de cultiver, de façon durable.
Ils pratiquent la « permaculture ».
Tout a commencé quand, dans les années 1970, les premiers « permaculteurs » ont compris qu’il fallait cultiver en coopération, plutôt qu’en opposition, avec la Nature.
Comme cela paraissait impossible, ces pionniers ont essuyé les rires, les moqueries. On les a traités de doux rêveurs, d’idéalistes.
En réalité, leur démarche s’appuyait au contraire sur l’expérience millénaire de nombreux peuples en Amazonie, à Madagascar, en Inde ou ailleurs. Des peuples qui avaient su éviter de tomber dans une exploitation pure et dure de la Nature, s’apparentant à une forme de viol et de pillage, à courte vue.
En combinant ces techniques anciennes avec les connaissances agronomiques modernes, ils ont mis au point des systèmes innovants de permaculture agro-écologique.
Aujourd’hui, la permaculture est devenue un phénomène de société. Car il est désormais prouvé que l’on peut cultiver, et récolter :
Sous tous les climats et dans toutes les circonstances, vous pouvez pratiquer à votre façon, la permaculture.
Que ce soit dans les campagnes, à la mer ou à la montagne, dans les banlieues, les centres villes et même dans les zones industrielles, vous pouvez contribuer à faire reverdir notre monde, tout en récoltant, pour vous et votre famille, des légumes et des fruits délicieux.
Pour cela, c’est très simple, il suffit de comprendre que les plantes s’aiment entre elles.
Prenez par exemple les « Trois Sœurs », qui adorent vivre ensemble. C’est le maïs + le haricot grimpant + la courge.
Le maïs sert de tuteur au haricot. Le haricot apporte de l’azote au maïs et à la courge. Avec ses grandes feuilles qui recouvrent le sol, la courge garde l’humidité et empêche les mauvaises herbes de pousser.
C’est une technique héritée des Améridiens, qui l’appelaient Milpa, et elle est devenue très populaire en permaculture :
Au niveau alimentaire la Milpa présente un intérêt nutritionnel majeur : elle a l’avantage de former une association (le maïs et le haricot) qui apporte tous les acides aminés essentiels (ceux que le corps ne peut synthétiser lui-même).
C’est un signe qui ne trompe pas. Il montre que, dans la Nature, « tout se tient ».
Ce n’est qu’un exemple. En pratiquant la permaculture, vous développerez très rapidement :
Et ainsi récolter des légumes et fruits savoureux, fondants, avec un minimum de moyens et de travail, et surtout générer des récoltes spontanées les années suivantes par le ré-ensemençage naturel !!
Mais ce n’est qu’un exemple des « miracles » de la permaculture.
Car la permaculture ne se limite pas au simple potager de légumes. Vous pouvez l’appliquer à une exploitation agricole toute entière !
Même si vous n’êtes pas agriculteur vous-même, il est passionnant de suivre les expériences menées autour du monde actuellement, comme par exemple le « verger à la Sobkowiak ».
Inventé par le Québecois Stefan Sobkowiak, c’est un verger qui tourne le dos à la monoculture intensive d’arbres fruitiers.
Dans les vergers classiques, les maladies se transmettent d’arbre fruiter en arbre fruiter. Il faut constamment traiter (fongicides, insecticides, et autres mesures de protection des fruits) sans quoi tous les fruits sont véreux, moisis, pourris.
Stefan Sobkowiak a inventé un verger « épicerie » en cultivant sur un même rang non seulement des pommes, poires, prunes et cerises, mais aussi toutes sortes de petits fruits (groseilles, cassis, amélanches, raisin…) et de légumes vivaces (ail, ciboulette, rhubarbe, oseille, fleurs comestibles…). Tout cela sans aucun intrant, engrais et pesticides !
Cet inventeur génial produit ainsi des montagnes de fruits fondants et délicieux aux saveurs d’antan. Et devinez-quoi : ses rendements sont supérieurs à celui de ses voisins, alors qu’il n’utilise aucun engrais !!
Mais avant de vous donner d’autre exemples, permettez-moi de me présenter.
Je m’appelle Florence Mont, j’ai 28 ans, et je suis moi-même permacultrice.
En 2018, j’ai créé le site Saine Abondance pour partager mes expériences. Le concept a rapidement connu un succès immense avec plus de 150 000 abonnés à ma newsletter.
Ce succès n’est pas étonnant. Chaque jour, la permaculture se développe, progresse, s’enrichit de nouvelles découvertes. Elle est en train de devenir un mode de vie, une façon d’être, englobant tous les aspects de la vie en société.
Des dizaines de milliers de jeunes, étudiants, ouvriers, artisans, paysans, franchissent le pas.
Des cadres supérieurs abandonnent tout pour mettre leur expertise au service de ce qui est la seule vraie « révolution verte ».
Ces personnes engagées dans la permaculture innovent tous les jours et il est important de suivre ces innovations. Ils inventent et vous pouvez bénéficier de ces progrès.
C’est la raison pour laquelle j’ai créé le Club Saine Abondance, où nous partageons les nouvelles les plus passionnantes qui se produisent dans les réseaux de permaculteurs.
Et je vous écris aujourd’hui pour vous inviter à nous rejoindre.
Le Club Saine Abondance est un lieu d’échanges, où nous partageons via une publication mensuelle, les astuces pratiques qui permettent à tous de progresser plus vite.
Nous couvrons tous les sujets essentiels à la permaculture comme les questions de :
Avec le Club Saine Abondance, vous apprendrez à ébranler (avec tact) les certitudes des professionnels les plus sceptiques.
Vous démontrerez, avec le sourire, qu’il est possible de produire mieux et plus, autrement, en se servant de la flore adventice, des plantes fixatrices d’azote (févier d’Amérique, robinier faux acacia, argousier…), et des multiples auxiliaires sauvages (oiseaux, insectes, champignons…) pour équilibrer votre écosystème comestible.
Plutôt qu’une terre qui se tasse et durcit comme du béton sous l’effet alterné des pluies et du soleil, vous saurez comment provoquer, spontanément, une multiplication des vers de terre (lombrics).
Grâce à eux, vous pourrez plonger votre bras jusqu’au coude, sans effort, dans votre terre qui restera toujours souple, aérée. Ce sont les lombrics qui feront pour vous le travail du binage, de fertilisation et de nettoyage.
La pluie ne ruissellera plus, et vous n’aurez plus de flaques ni de boue, grâce à une augmentation du coefficient d’absorption de votre sol. Vous économiserez du temps et de l’eau puisque vous n’aurez plus besoin d’arroser.
Vous en avez assez de traiter vos pommiers qui attrapent chaque année des maladies fongiques qui font tomber les feuilles et les fruits alors qu’ils sont encore verts et tout petits ?
Plantez tout simplement des pommiers Akane, Choupette ou Dalinettes – et libérez-vous de l’emprise de l’industrie chimique.
Car c’est la terrible vérité : la vulnérabilité de nos espèces aux maladies et aux insectes n’est pas un hasard.
Les grandes sociétés de production de graines sont en lien avec l’industrie chimique qui produit les insecticides, fongicides, engrais et pesticides.
Ils ont intérêt à ce que vos choux soient dévorés par les vers. Ils sont heureux de voir vos fruitiers perdre leurs feuilles. Ils rient quand se multiplient les limaces dans vos laitues, et quand les ravageurs détruisent vos semis.
Ainsi, que vous le vouliez ou non, et même si vous avez une âme bien trempée de résistant, vous n’avez pas d’autre choix que de retourner, tout penaud, acheter leurs produits toxiques et les diffuser dans votre jardin. Ces produits qui videront encore un peu votre compte en banque, et déséquilibreront encore plus l’écosystème.
Ils créent ainsi une insidieuse dépendance, une forme d’esclavage infernal involontaire et surtout inconscient, où sans vous en apercevoir, vous finissez par ne plus travailler que… pour eux !!!
D’où l’importance de connaître, et répandre, les nouvelles pratiques de permaculture, qui sont aussi des outils d’émancipation !
C’est en participant au Club Saine Abondance que vous aurez les réponses à toutes ces questions essentielles pour la joie de jardiner.
Même si vous n’avez pas de jardin, et pas d’ambition d’en avoir un, vous pouvez tout de même devenir « permaculteur ».
Car la permaculture ne se limite plus à l’agriculture.
Elle est devenue une science pour aménager des écosystèmes humains – éthiques, durables et robustes – en harmonie avec la nature.
Elle peut être mise en œuvre partout, à l’échelle d’un appartement comme d’une ville, d’un potager comme d’une ferme, et elle est accessible à tous.
L’ambition n’est pas « seulement » de récolter des délicieux fruits et légumes sans se battre contre la Nature.
L’objectif est de guérir la Terre dans son ensemble, et c’est pourquoi nous avons besoin qu’un maximum de vocations de permaculteurs s’éveillent !
La permaculture est en effet une solution globale à beaucoup de problèmes contemporains.
En adhérant au Club Saine Abondance, vous contribuez à soutenir un mouvement de personnes qui :
Vous apportez votre pierre à un projet immense, porteur d’espoir et d’avenir, pour faire entrer l’humanité dans une nouvelle philosophie plus respectueuse du vivant.
Nous devons cesser de considérer la plante comme un malade à qui il faut administrer un médicament.
Comme pour les maladies des Hommes, les maladies des plantes sont pour la plupart causées par un environnement et un mode de vie malsains.
Plutôt que de traiter par des fongicides (les antibiotiques des plantes), nous soignons l’écosystème de la plante pour lui éviter les maladies.
L’effet est visible sur les plantes, mais c’est au niveau microbien, dans la richesse des sols en bactéries, champignons, micro-organismes, que la différence est la plus grande, et la plus positive.
Jardiner en permaculture permet de rendre son jardin riche et fertile tout en interconnectant les différents éléments présents.
A force d’expériences et de persévérance, la permaculture est en train de triompher.
Ne restez pas en marge du mouvement.
Prenez part à la révolution de l’agro-écologie !
Vous y avez votre place, où que vous soyez.
✓ D’un accès illimité au forum francophone mondial du Club Saine Abondance.
Les jardiniers du Club Saine Abondance du monde entier y partagent leurs succès, leurs essais, leurs graines et leurs projets ! Découvrez ceux qui jardinent dans votre quartier, nouez des amitiés fortes et restez inspirés par cette belle communauté en marche.
✓ D’une revue numérique mensuelle pour découvrir l’association végétale permacole aux quatre saisons !
Vous saurez quelles plantes planter ensemble, pourquoi, comment, quand. Vous y découvrirez leurs vertus pour le sol, pour votre santé, pour la biodiversité.
Le tout pour l’équivalent d’un café (1,60 € par numéro). Sans aucun engagement.
C’est le plus beau cadeau que vous puissiez faire à vos enfants et petits-enfants.
A vous-même.
Et indéniablement à la « Pacha Mama », la mère de tous les peuples comme disent les Amérindiens.
De mon côté, je vous ai préparé moi aussi de nombreux cadeaux de bienvenue.
Je suis impatiente de vous accueillir dans ce projet commun.
Guérir la Terre – Nourrir les Hommes
Il est temps de prendre soin de vous, en prenant soin de votre lopin de terre
Florence Mont
Saine Abondance
PS : Vous ne prenez aucun risque à essayer le Club Saine Abondance, car vous serez satisfait ou remboursé.
Mais rassurez-vous, nous n’avons que des retours positifs des membres. En voici quelques-uns :
Et de nombreux autres témoignages ici :
Si vous avez la moindre question, vous pouvez m’écrire en cliquant sur ce formulaire de contact.
Guérir la Terre – Nourrir les Hommes